














Voila mon cher CHRIS ! C'est trois pages que pour toi !
Eh quel plaisir, de te faire plaisir !
Je peut ressentir ta sincérité et ton émotion. c'est vraiment touchant...Merci pour ta douceur, et de m'avoir permis d'illuminer, un peu ta vie.
Tu es quelqu'un de bien alors ça ne pouvait que bien se passer. Tu es honnête, et tu as de la compassion pour les autres...
En fait, pour moi, toutes les âmes sont belles, et tu en fait parti !
Mon cher CHRIS prend bien soin de toi ! Tu n'es pas encore prêt, pour rejoindre ton aimée, crois moi !
Clark Gable a dit...
Il suffit de suivre cette étoile et c'est tout droit devant.
Peu importe ou la sienne se trouve dans l'infini, la sienne brille toujours plus fort, toujours plus haut...
Je t'embrasse mon cher CHRIS, bon courage à toi..Toutes mes pensées t'accompagnent Simona.

MARILYN MONROE
Elle se savait exceptionnellement douée pour créer des images, et elle adorait ça.
Elle pouvait être une Marilyn différente avec chaque photographe.
Elle imposait elle-même ses besoins, ses humeurs, son érotisme, travaillait rapidement.
Quand ça marchait, les expressions se succédaient sur son visage, son corps ondoyait.
Ça marchait souvent mieux que sur les plateaux de cinéma où elle débarquait avec deux, trois, quatre heures de retard, compromettant la production; elle peinait à mémoriser son texte, incapable de se concentrer.
Mais, comme l'a dit Clark Gable, son partenaire dans «Les désaxés»:
«Quand elle est là elle l'est à 100 %, elle donne tout »...
Et bluffe le plateau par son talent autant que par sa gentillesse attendrissante.
Car on a jamais vu une blonde ressembler aussi peu a une blonde.
Ni garce ni bêtasse Juste libre.
Si proche de ses émotions, si près des larmes, si vite blessée, si vite reconquise.
Une sensibilité d'enfant dans un corps de bombe sexuelle.
Le tournage des Désaxés.
Marilyn souffre de ne pouvoir jamais vraiment garder un homme, anéantie par Arthur Miller qui la presse de divorcer.
Pour se sentir mieux, elle commence à boire et à abuser de tranquillisants.
C'est le tournage du film «Les désaxés », écrit par Arthur Miller, qui l'affaiblit encore plus.
Mal dans sa peau et alors qu'elle met tout son coeur à jouer, le metteur en scène John Huston lui hurle régulièrement des insanités :
«Je t'ai prise parce que tu es une pute, pas une actrice I».
Et sur le plateau, son mari ne prend jamais sa défense, restant silencieux, les yeux braqués sur une autre femme, la photographe autrichienne Inge Morath avec laquelle il finira par se remarier.
Le tournage finit même par être suspendu.
L'actrice est envoyée en cure de désintoxication, au cours de laquelle elle apprend la mort de Clark Gable, son père de substitution, et son partenaire avec Montgomery Clift dans «Les désaxés ».
Ce drame fait ressortir ses blessures et la plonge dans un profond désespoir dont elle ne parviendra plus à ressortir de toute sa vie.
j'ai toujours eu une profonde admiration pour cette femme que la vie n'aura pas épargné malgré son statut de "star"
FIN
Eh quel plaisir, de te faire plaisir !
Je peut ressentir ta sincérité et ton émotion. c'est vraiment touchant...Merci pour ta douceur, et de m'avoir permis d'illuminer, un peu ta vie.
Tu es quelqu'un de bien alors ça ne pouvait que bien se passer. Tu es honnête, et tu as de la compassion pour les autres...
En fait, pour moi, toutes les âmes sont belles, et tu en fait parti !
Mon cher CHRIS prend bien soin de toi ! Tu n'es pas encore prêt, pour rejoindre ton aimée, crois moi !
Clark Gable a dit...
Il suffit de suivre cette étoile et c'est tout droit devant.
Peu importe ou la sienne se trouve dans l'infini, la sienne brille toujours plus fort, toujours plus haut...
Je t'embrasse mon cher CHRIS, bon courage à toi..Toutes mes pensées t'accompagnent Simona.

MARILYN MONROE
Elle se savait exceptionnellement douée pour créer des images, et elle adorait ça.
Elle pouvait être une Marilyn différente avec chaque photographe.
Elle imposait elle-même ses besoins, ses humeurs, son érotisme, travaillait rapidement.
Quand ça marchait, les expressions se succédaient sur son visage, son corps ondoyait.
Ça marchait souvent mieux que sur les plateaux de cinéma où elle débarquait avec deux, trois, quatre heures de retard, compromettant la production; elle peinait à mémoriser son texte, incapable de se concentrer.
Mais, comme l'a dit Clark Gable, son partenaire dans «Les désaxés»:
«Quand elle est là elle l'est à 100 %, elle donne tout »...
Et bluffe le plateau par son talent autant que par sa gentillesse attendrissante.
Car on a jamais vu une blonde ressembler aussi peu a une blonde.
Ni garce ni bêtasse Juste libre.
Si proche de ses émotions, si près des larmes, si vite blessée, si vite reconquise.
Une sensibilité d'enfant dans un corps de bombe sexuelle.
Le tournage des Désaxés.
Marilyn souffre de ne pouvoir jamais vraiment garder un homme, anéantie par Arthur Miller qui la presse de divorcer.
Pour se sentir mieux, elle commence à boire et à abuser de tranquillisants.
C'est le tournage du film «Les désaxés », écrit par Arthur Miller, qui l'affaiblit encore plus.
Mal dans sa peau et alors qu'elle met tout son coeur à jouer, le metteur en scène John Huston lui hurle régulièrement des insanités :
«Je t'ai prise parce que tu es une pute, pas une actrice I».
Et sur le plateau, son mari ne prend jamais sa défense, restant silencieux, les yeux braqués sur une autre femme, la photographe autrichienne Inge Morath avec laquelle il finira par se remarier.
Le tournage finit même par être suspendu.
L'actrice est envoyée en cure de désintoxication, au cours de laquelle elle apprend la mort de Clark Gable, son père de substitution, et son partenaire avec Montgomery Clift dans «Les désaxés ».
Ce drame fait ressortir ses blessures et la plonge dans un profond désespoir dont elle ne parviendra plus à ressortir de toute sa vie.
j'ai toujours eu une profonde admiration pour cette femme que la vie n'aura pas épargné malgré son statut de "star"
FIN